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historique

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حتى أكو

 

écrivains et journalistes interdits d'expression en Algérie petition

 

salah hamouri-collectif-21

Collectif créé le 22/12/2008 en région Dijon/Bourgogne

 

*************

solidarite-palestine21


pour GAZA
samedi 03/01/2009
15h
rassemblement
devt la préfecture de Dijon

 

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çà avance ..

Le collectif local de soutien de Salah Hamouri sera présent le 5 juin place du Bareuzai, à Dijon à l'occasion du sit in mensuel de soutien à Bil'In.

info libre et médias OFFF

 

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mercredi 10 juin 2009

à l’IUFM (Amphithéâtre)

51, rue Charles Dumont

21000 DIJON

20 H 30

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Rassemblement devant l’ambassade du Maroc à PARIS 26 06 2009

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Verdict de la cour d'appel pour les étudiants de Marrakech

Recherche

en cours/à venir


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esp TAIRI
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hommage

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amdh / dh

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libération des militants du 1er mai

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événements

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"coup de coeur"

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FEMMES

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antenne-parabole.JPG



 

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Rassemblement pr Annahj et DH au Maroc
26 06 09 Paris


Archives

26 août 2007 7 26 /08 /août /2007 12:15

Créatrice et responsable de l'Atelier Tairi

- celui-ci comprend outre

- son atelier à fonctionnement associatif

- un espace entraide/juridique

- un secrétariat

et revendique les droits de la femme comme de l'enfant.

*********

Dans tous les cas ceux de l'individu plus particulièrement quant à son droit d'expression et à être tout simplement et naturellement.

Ceci n'est pas toujours le cas bien sûr et ce de partout.

*********

Je viens vous marquer mon étonnement et ma stupéfaction.

En ce qui concerne le fait d'arrestations de militants à Agadir et dans d'autres villes du pays lors des manifestations du 1er mai 2007 et dont nous avons eu connaissance par le fait d'une pétition dans les premiers temps, de même par le fait du Net sur lequel nous nous rendons régulièrement pour raisons inter/professionnelles .

Nous ne pouvons que comprendre plus que difficilement que l'on puisse arrêter un militant, un travailleur précisément ce jour où il lui est donné droit, possibilité de s'exprimer tant sur lui-même que sur son outil de travail et son environnement professionnel.


Ce jour demeure pour tout travailleur, quelque soit sa fonction et son statut, un jour qui lui est réservé, afin que précisément il puisse être reconnu en tant que tel .

Nous passerons aussi sur le sit-in du 15 juin 2007 dont la dispersion fut étonnement violente, et toucha non seulement la présidente Khadija Ryadi mais aussi les membres de l'AMDH.

Il ne s'agit plus de simples manifestants dans ce cas précis, mais de responsables et représentants de ces droits humains, que nous nous faisons une règle de représenter comme toute entité, voire de revendiquer .

Nous avons appris en outre les condamnations de certains de ces militants, non seulement pour le fait de manifester dans les règles, mais de plus pour le fait de soutenir, par ce biais qui leur était donné, ceux de leurs camarades détenus.

Eux-mêmes à leur tour se trouvent dans la même situation.

Il s'agit dans ce cas d'une atteinte à la solidarité .

Nous sommes de la même façon fortement étonnés de l'évolution de la grève des mineurs de Jbel Awam, qui eux aussi subirent une forte répression, lors de la journée du 6 août dernier.

Nous situant dans un pays de Droits de l'Homme dont nous avons un vécu et un droit de libre pensée et d'expression en la matière, nous sommes à ce titre et par voie de conséquence contraints de nous adresser à vous pour vous marquer notre étonnement en ce qui concerne tout ce qui a été précédemment cité dans un pays frère et partenaire du nôtre .


Je rajouterais qu'en France puisque c'est de là que nous nous adressons à vous, nous avons envers le Maroc et sa population, outre des liens confraternels, une relation privilégiée du fait de la communauté marocaine de notre pays, qui se trouve partie intégrante du paysage autant démocratique, que démographique, culturel, artistique, syndical et politique que sur celui de monde du travail et ce à tous les degrés de l'échelle hiérarchique.

Ceci étant le fait depuis quelques générations maintenant.

Souhaitant que vous puissiez prendre connaissance de notre écrit.


Pour Atelier Tairi

tairi5462@gmail.com

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26 août 2007 7 26 /08 /août /2007 02:53

La stratégie de la rupture

En trois ans, la préfecture du Nord est passée des régularisations aux

reconduites.

Par Stéphanie Maurice

LIBERATION.FR : vendredi 24 août 2007


«Vous vous rendez compte ? Treize grèves de la faim depuis 1996 !»

A chaque conférence de presse, le préfet du Nord, Daniel Canépa, s'en

étonne.

Sa mission ? Casser ...

«l'équation grève de la faim égale régularisation».

Désormais, s'exclame-t-il ....

«grève de la faim égale reconduite à la frontière. C'est cela, la rupture».


Exception. Dans le Nord, la mobilisation permanente des sans-papiers a

créé un climat d'exception : ici, les régularisations sont plus nombreuses

qu'ailleurs.

L'histoire commence en mai-juin 1996, l'année de l'occupation

de l'église Saint-Bernard à Paris.

Un groupe de parents sans papiers se lance dans une grève de la faim.

Ils sont dans un no man's land juridique à la suite des lois Pasqua.

Ils ne peuvent être expulsés parce que leurs enfants sont français, mais ils n'ont pas le droit de travailler.

Ils seront finalement régularisés.

«C'est dans la foulée de cette victoire que s'est créé le CSP, le comité des sans-papiers» ,

se souvient Annick

Battallan, de la Ligue des droits de l'homme.

«Pour nous, c'était une

excellente chose, cette autoorganisation des sans-papiers.

Ils sortaient de leur clandestinité pour lutter.»

Ensuite, les grèves se sont échelonnées à un rythme élevé, avec plus ou

moins de succès. Jusqu'au mouvement de 2004, où il y aura 450 grévistes à Lille.

Un médiateur est nommé par le gouvernement Raffarin, le conseiller

d'Etat Jean-Marie Delarue. Outre les régularisations qu'il accorde, il met

en place un système préventif des jeûnes : une réunion mensuelle avec le collectif des sans-papiers (composé des Mrap, CSP59, Cimade, LDH) pour le réexamen de dossiers refusés.

Grippé. En moyenne, 40 % des cas sont régularisés.

Mais, selon le collectif, le dispositif s'est grippé cette année, et les listes d'attente se sont allongées, ce que nie la préfecture.

La crise explose le 15 juin, après l'occupation du World Trade Center de Lille, quand 60 sans-papiers sont arrêtés. Commence alors cette grève de la faim, aujourd'hui dans l'impasse.

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25 août 2007 6 25 /08 /août /2007 11:39
La mairie d'Argenteuil s'est doté de produits répulsifs pour éloigner les SDF

Par Stéphane JOURDAIN AFP - Vendredi 24 août, 18h49

ARGENTEUIL (AFP) - Dans le but de déloger les SDF de son centre-ville, la mairie d'Argenteuil (Val-d'Oise) a acheté cet été des répulsifs nauséabonds appelés "Malodore", "une solution triste" mais nécessaire selon la mairie que dénonce le PS qui condamne "une chasse aux pauvres".


Chasser les clochards avec des répulsifs

Pour éloigner les SDF du centre ville, la mairie d'Argenteuil a acheté en juillet des produits répulsifs nauséabonds appelés "Malodore" que les agents musicipaux ont refusé de diffuser .

http://www.bafweb.com/2007/08/24/france-chasser-les-clochards-avec-des-repulsifs/


vendredi 24 août 2007 (23h43) :
argenteuil un élu ump pratique la guerre chimique contre les pauvres

il semblerait que la guerre anti pauvres soit montée d’un cran dans cette « brillante » soit disant « démocratie » que serait la France un pays issu des « lumières » qu’ils nous disent les médias tu parles …

jamais on a vu autant d’outils de « mobiliers urbains » et autres « aménagements urbains » destinés a rassurer les chancres mous du tout sécuritaire, bornes en béton posées dans les terrains vagues pour empêcher les campements de Sdf , piques a humains en métal pour éviter que des jeunes ou des Sdf ne stationnent devant certains temples de la marchandise, humidification de zone urbaines par la voirie destinées elles aussi a empêcher les « stationnements intempestifs » , réaménagement urbains destines a faciliter l’emploi de troupes d’occupation militarisées chargée de s’occuper de l’éradication des « violences urbaines » multiplications des grillages et grilles diverses ( le bobo ne se sentant bien qu’avec ses semblables), multiplications des digicodes, et autre passes electromagnetiques ( a quand les digicodes biométriques dans pas longtemps ça c’est sur…), sièges et mobiliers urbains concus par des « designers » malades pour empécher les Sdf d’y dormir

On apprend qu’un « élu » le maire d’Argenteuil comme par « hasard » un « élu » de l’ Ump Sarkozyste aurait eus recours a un produit chimique dégueulasse qui pue grave pour chasser les Sdf de sa ville voir


http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=84789


Pour éloigner les sans-abris du centre-ville, la mairie UMP a acheté en juillet des produits répulsifs nauséabonds, que les agents municipaux ont refusé de diffuser.

Pour éloigner les SDF du centre-ville, la mairie d’Argenteuil (UMP) a acheté en juillet des produits répulsifs nauséabonds appelés "Malodore" que les agents municipaux ont refusé de diffuser, a-t-on appris de sources concordantes.

www.betapolitique.fr/+Argenteuil-voudrait-chasser-les-01195+.html
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24 août 2007 5 24 /08 /août /2007 12:29
Drame du centre équestre
La fillette était Dijonnaise

L'enquête se poursuit concernant la mort d'une fillette, écrasée par une botte de paille mercredi après-midi, dans un entrepôt du centre équestre l'Etrier de Bourgogne à Dijon (nos éditions d'hier). Une autopsie a été pratiquée hier pour en savoir plus sur les circonstances de ce drame. Cette petite fille de 10 ans était originaire de Dijon.


Un escroc aux 100 métiers

Un escroc sévit dans l'Yonne. Décrit comme étant âgé d'une « cinquantaine d'années », assez « corpulent », « trapu », les cheveux grisonnants », l'individu se fait passer pour un professionnel à court d'essence, ayant oublié son argent. Il demande alors à ses futures victimes de le dépanner soit en carburant ou en espèces sonnantes et trébuchantes, toujours des petites sommes.
Depuis le début de l'année, il aurait endossé tous les corps de métiers pour tromper ses victimes : boulanger, charcutier, agriculteur, menuisier, électricien, cafetier, restaurateur...
Les gendarmes l'auraient identifié. Leur enquête s'attache notamment à recenser toutes les personnes que l'individu est susceptible d'avoir mystifié, dans l'Yonne ou dans les départements limitrophes.


Ateliers matinaux à l'espace Léo-Ferré
Les révisions vont bon train

Depuis le 16 août et jusqu'au 29 août, la ville de Quetigny propose pour les 14/20 ans des révisions d'été sur deux semaines dans le cadre de l'opération Ecole ouverte avec les ateliers maths, physique et sciences humaines. Les places sont offertes aux élèves de lycées d'enseignement général (2nde, 1re, terminale), technologique (STT, STI) et de lycées
 professionnels. Trente-trois inscrits la première semaine, une quarantaine pour la seconde semaine bénéficient de ces révisions.


Les autoroutes du cerveau de plus en plus accessibles

Les clichés IRM en 3D des « autoroutes cérébrales de l’information » se sont affinés avec les années de recherche. La précision est de mise pour ces clichés qui permettent une interprétation remarquable.
Pendant 45 ans, j’ai entendu les fibres du cerveau crisser sous mon scalpel. Et voici qu’elles m’apparaissent, magnifiques ! Je n’en crois pas mes yeux ! ».
Cet éblouissement, le Pr Jean Talairach, premier cartographe des cerveaux humains et inventeur de la chirurgie stéréotaxique au centre hospitalier Sainte-Anne (Paris), en faisait part peu avant son décès, en mars dernier.

http://www.bienpublic.com/femmes/sante/20070718.JSL1042.html  



POIVRE et SEL de Philippe Alexandre
L'auteur et l'acteur

Un évènement politique, littéraire, ou mondain ? Un évènement national que la sortie de ce livre intitulé « L'aube, le soir ou la nuit ».
L'auteur, Yasmina Reza, a écrit des pièces de théâtre jouées dans le monde entier, par les vedettes de la scène ou de l'écran. Le sujet du livre est le candidat à la dernière élection présidentielle dont il est sorti vainqueur, Nicolas Sarkozy. L'éditeur, Flammarion, a mis en scène la sortie de l'ouvrage de manière à en faire le « best-seller » de cette rentrée littéraire.
Yasmina Reza, qui a été actrice de certaines de ses pièces, aime les acteurs et écrit pour les mettre en valeur.

http://www.bienpublic.com/actu/region/20070824.BPA0126.html


le narguilé est très EN vogue chez les jeunes
Alerte sur les dangers de la chicha

Forts du « succès » de la lutte contre la cigarette, hors la loi dans les entreprises et la plupart des lieux publics depuis le 1er février, les experts s'inquiètent de la vogue croissante de la chicha ou narguilé chez les jeunes.
Dans les écoles, ils ne savent même pas que c'est du tabac », commente le Pr Bertrand Dautzenberg, président de l'Office français de prévention du tabagisme (OFT).
La chicha ou narguilé, nouveau mode de consommation du tabac, connaît une « augmentation considérable, récente, massive » chez les jeunes, a souligné le pneumologue jeudi devant la presse, à une semaine de Journée mondiale sans tabac le 31 mai.

http://www.bienpublic.com/femmes/sante/20070528.BPA0242.html



Pour soutenir la recherche médicale appliquée
Une semaine passée
sous le signe de la Fondation de l'Avenir


Le match de basket-ball opposant hier la JDA Dijon à Orléans avait une dimension particulière : il clôturait une semaine passée sous le signe de La Fondation de l'Avenir. Cette dernière a souhaité valoriser les travaux de recherche médicale appliquée, menés par le Professeur Pérennou.

E ntre la visite du service de rééducation neurologique du CHU de Dijon mercredi 28 mars et le match du 1er avril, cette opération inscrite dans le cadre de la « Journée de l'Avenir, journée de l'espoir », la Fondation de l'Avenir a souhaité valoriser les travaux menés par le Professeur Dominic Pérennou, auxquels elle a participé. Bien souvent les équipes de recherche médicale travaillent dans l'anonymat le plus total et sans réelle reconnaissance......................

http://www.bienpublic.com/femmes/sante/20070402.BPA0122.html


en cours ........
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24 août 2007 5 24 /08 /août /2007 00:31

La première femme pilote de chasse est décédée mardi

Caroline Aigle n'est plus : L'armée de l'air en deuil

Elle restera comme la première femme pilote de chasse en France.

A 32 ans, Caroline Aigle est décédée, mardi, des suites d'une maladie foudroyante.

Affectée en 1999 sur la base aérienne 102 de Dijon-Longvic, elle avait passé sept ans en Côte-d'Or.


Elle était une pionnière.

Le commandant Caroline Aigle est désormais une légende.

A 32 ans, celle qui restera à jamais la première femme pilote de chasse en France, est décédée mardi des suites d'une maladie foudroyante, laissant derrière elle un mari et deux enfants.


A la base aérienne 102 de Dijon-Longvic personne n'a oublié Caroline Aigle où elle a passé sept ans au sein de l'escadron de chasse 2/2 Côte-d'Or. Cette native de Montauban, dans le Tarn-et-Garonne, avait été affectée en Côte-d'Or en novembre 1999.

Avant de pouvoir piloter le fameux Mirage 2000-5, Caroline Aigle était partie suivre un stage de transformation initiale et de perfectionnement sur Mirage 2000 au sein de l'escadron de chasse 2/5 Ile de France.

« Devenir pilote de chasse, cela tenait du rêve », avait confié Caroline Aigle, capitaine à l'époque.


Un rêve qu'elle ne doit qu'à elle-même.

Ce « petit bout de femme d'1,60 mètre pour 50 kg, aux cheveux blonds et aux yeux bleus », a su s'imposer dans un milieu à la réputation machiste.

En 1997, à l'âge de 23 ans, elle est d'ailleurs entrée directement en troisième année de l'Ecole de l'air de Salon-de-Provence.

L'école n'avait ouvert ses portes aux femmes que depuis... un an.

Au sortir de Polytechnique, qu'elle avait intégré en 1994, elle n'avait pas hésité à choisir l'armée de l'air alors qu'une carrière d'ingénieur lui tendait les bras.

Elle gravit tous les échelons

A Salon-de-Provence, elle a donc suivi la formation de pilote à la division des vols de l'Ecole de l'air où elle est orientée vers la filière pilote de chasse.

Elle poursuit ensuite sa formation à l'école de l'aviation de chasse de Tours et obtient son brevet de pilote de chasse le 28 mai 1999, devenant ainsi la première femme brevetée pilote de chasse de l'armée de l'air.

Le 31 mai 1999, elle rejoint l'école de transformation opérationnelle de Cazaux en Gironde pour s'entraîner aux différentes phases pratiques du pilotage de combat, avant de rejoindre enfin la BA 102 de Dijon-Longvic.

De pilote de combat opérationnel à chef de patrouille en 2004, elle gravit tous les échelons des qualifications de pilote de chasse.

Sous-lieutenant en 1996, lieutenant en 1997, capitaine en 1999, elle va jusqu'à prendre le commandement de la SPA 57 Mouette, 2e escadrille de l'EC 2/2 en octobre 2005.

En septembre 2006, Caroline Aigle est affectée à la division « sécurité des vols » au sein du commandement des forces aériennes (CFA) sur la base aérienne 128 de Metz. Elle totalisait près de 1 600 heures de vol.

Une sportive de haut niveau

Le pilotage n'était pas sa seule passion.


Cette fille de militaire - son père était médecin des armées -

était également une sportive de haut niveau.

En témoigne son impressionnant palmarès : championne de France militaire de triathlon individuel et par équipe en 1997, et vice-championne du monde militaire par équipe, dans la même discipline, en 1999.

Elle aimait également le parachutisme, la plongée sous-marine et

la planche à voile.

En 2005, Caroline Aigle avait reçu une autre médaille, celle de la défense nationale or.

A ses débuts à Dijon, elle expliquait :


« Tout cela n'a rien changé pour moi. Je pense seulement à toutes celles qui en ont rêvé avant moi et n'ont pu le réaliser ».


Aujourd'hui, toutes celles qui l'ont suivi dans son sillage ont certainement une pensée pour elle, tout comme l'ensemble de ses camarades pilotes de la BA 102 Dijon-Longvic et d'ailleurs.


Steeve CUPAIOLO-VERNEY

jeudi 23 août 2007


L'armée de l'air a mis en ligne un blog, sous forme de livre d'or afin de recueillir les témoignages à l'attention de la famille de Caroline Aigle :

http://armee-de-lair.over-blog.fr/

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23 août 2007 4 23 /08 /août /2007 23:42


 

quand je veux je veux
quand j'aime j'aime,
quand je dis je dis
quand je fais je fais !
je n'abdique jamais
je mets le temps
mais j'arrive à mes fins
surtout quand j'en connais
la teneur
les miens le savent
ceux qui m'ignorent aussi
quelques soient mes mots
et le ton que j'emploie
difficile de me faire face
j'ai un ange gardien
j'ai une baguette magique
j'ai un pigeon voyageur
et lorsqu'il s'agit de me faire face
c face à eux aussi !
ils n'abdiquent jamais
ils font pas la guerre
mais cool
m'empêchent d'avoir à la faire
amneris
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23 août 2007 4 23 /08 /août /2007 14:12
Maroc / Liberté d’expression
Le délit de presse sanctionné par de la prison ferme !


La FIDH dénonce les condamnations prononcées le 15 août 2007, par le Tribunal de première instance de Casablanca à l’encontre de Mustafa Hormat Allah, journaliste de l’hebdomadaire Al-Watan al-’an et de Abderrahim Ariri, directeur de ce journal, à respectivement huit mois de prison ferme et six mois de prison avec sursis et au paiement d’une amende de 1000 dirhams (90 euros), chacun.

Le 17 juillet 2007, Abderrahim Ariri et Mustafa Hormat Allah ont été écroués et accusés de « recel de documents obtenus à l’aide d’une infraction », en vertu de l’article 571 du Code pénal marocain.
Ces arrestations faisaient suite à la demande du ministère public qu’une enquête soit ouverte sur la publication par l’hebdomadaire de « documents confidentiels de nature à porter atteinte à l’ordre public » suite à la publication le 14 juillet 2007, d’un dossier intitulé « les rapports secrets derrière l’état d’alerte au Maroc ».

La FIDH rappelle les irrégularités dénoncées dans le cadre de la procédure à l’encontre de ces deux personnes et notamment le fait que les deux journalistes ont été maintenus 8 jours en garde à vue en violation de l’article 571 du Code pénal selon lequel celle-ci ne doit pas dépasser 48 heures pour le délit qui leur est reproché.
Il est en outre à noter que le Comité des droits de l’Homme des Nations unies a en novembre 2004, estimé que la législation marocaine sur la garde à vue n’était pas conforme aux dispositions de l’article 9 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP)[1].
 La FIDH s’inquiète enfin que des peines de prison puissent être prononcées pour sanctionner un délit de presse.
Cette affaire s’inscrit par ailleurs, dans un contexte de multiplication au cours des dernières semaines des atteintes à la liberté de la presse au Maroc.

Le 4 août 2007, l’hebdomadaire Nichane a été saisi par le Premier ministre marocain pour « manquement au respect dû à la personne du Roi » et « expressions contraires à la morale » suite à la publication d’un dossier intitulé « Le sexe dans la culture islamique » et de critiques du discours prononcé par le Roi, le 30 juillet 2007.
Le même jour, le Ministre de l’Intérieur a ordonné la saisie de l’hebdomadaire Telquel pour « non respect du Roi ». Ahmed Benchemsi, directeur de ces deux journaux, comparaîtra devant la justice pour « manquement au respect dû à la personne du Roi », le 24 août.
Il risque trois à cinq ans de prison.
La FIDH réitère sa ferme condamnation de toute violation du droit à la liberté d’expression et de la presse garanti notamment par l’article 19 du PIDCP ratifié par le Maroc en 1979.
La FIDH appelle en outre le Maroc à amender le Code de la presse dont plusieurs dispositions constituent des entraves juridiques majeures à la liberté d’expression et de presse telle que garantie par les instruments internationaux ratifiés par le Maroc.
La FIDH rejoint ici le Comité des droits de l’Homme qui a appelé le Maroc à « faire en sorte que sa législation et sa pratique donnent pleinement effet aux exigences de l’article 19 du Pacte ».
16/08/2007
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23 août 2007 4 23 /08 /août /2007 01:07

« Les siècles
tour à tour
ces gigantesques frères

Différents par leur sort
semblables en leurs vœux

Trouvent
un but pareil ...
par des routes contraires. »

« Ce siècle avait deux ans !
Rome remplaçait Sparte
Déjà Napoléon perçait
sous Bonaparte »


« La peine de mort
est le signe spécial et éternel
de la barbarie. »


Victor Hugo, né le 26 février 1802 et mort le 22 mai 1885
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22 août 2007 3 22 /08 /août /2007 06:49

"J'ai été le premier à entendre son cri
de par le monde

et à son cri j'ai joint le mien
ai-je perdu maintenant foi
dans ce destin rêvé ?

comme il était radieux mon chemin ...
dans le coeur des gens
éveiller la conscience
recueillir les larmes
des vaincus et des affligés

faire du monde un Panthéon
changer les hommes en dieux
et en un seul baiser et en une seule étreinte
aimer toute l'humanité !"

André Chénier poète révolutionnaire
30 octobre 1762 - 25 juillet 1794
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21 août 2007 2 21 /08 /août /2007 15:03

mardi 21 août 2007


La délinquance sexuelle au cœur de la polémique
Pédophilie : Trop de lois et pas assez de moyens ?

Les deux récentes affaires d'agressions sexuelles de Roubaix, dans le Nord, et de Vaux, dans la Nièvre, stigmatisent les carences du système judiciaire et carcéral concernant la prise en charge des pédophiles. Plus qu'un vide juridique, les avocats et magistrats dijonnais évoquent un manque de moyens.

Deux affaires d'agressions sexuelles en moins d'une semaine. Pour les instances judiciaires, c'en est trop ! Si l'animateur du centre aéré de Vaux dans la Nièvre, mis en examen cette semaine pour « viol sur mineur de 15 ans et agression sexuelle », n'était pas connu des forces de l'ordre, il n'en était pas de même pour Francis Evrard, l'homme qui a enlevé le petit Enis à Roubaix, le 15 août dernier, avant de lui faire subir des « sévices sexuels ».

A 61 ans, ce dernier avait déjà été condamné trois fois pour attentat à la pudeur et viol sur mineur. Et pour ne rien arranger, Francis Evrard s'était fait prescrire du Viagra par un médecin exerçant à la prison de Caen, avant sa sortie de prison le 2 juillet !

Autant de failles dans un système judiciaire qui cherche toujours à lutter efficacement contre la récidive.
Et pourtant :

« En matière de délinquance sexuelle, lors d'une faute grave, le tribunal peut prendre la décision de condamner le délinquant à de la prison ferme, à laquelle s'ajoute un sursis et mise à l'épreuve avec des obligations de soins. Dans certains cas, il peut également y avoir un suivi sociojudiciaire, durant lequel le condamné sera présenté à des médecins que l'on aura choisis. S'il ne respecte pas ces conditions, il retournera directement en prison, sans passer par le tribunal »
, explique Edwige Roux-Combet, vice-procureur de la République à Dijon.

De son côté, Nicolas Sarkozy a annoncé hier l'ouverture en 2009, à Lyon, du premier « hôpital fermé pour pédophiles »

« L'arsenal législatif nous l'avons déjà »

Le président de la République a ajouté que les délinquants sexuels ne sortiront de prison qu'une fois leur peine exécutée et après examen de leur dangerosité par un collège de médecins. Les délinquants jugés dangereux rejoindront donc un hôpital fermé.

Il s'est en outre déclaré favorable à la castration chimique pour les pédophiles « qui accepteront de se faire soigner ».
Une mesure qui ne fait pas l'unanimité :

« Je ne suis pas sûre que cela soit une solution », estime Edwige Roux-Combet. Pour Maître Brultet, avocat à la cour et membre du conseil de l'Ordre à Dijon, la justice dispose déjà des outils pour lutter contre la délinquance sexuelle : « L'arsenal législatif, nous l'avons déjà. Depuis juin 1998 il existe une série de mesures concernant les délinquants sexuels, comme les injonctions de soins, ou encore l'interdiction d'entrer en contact avec certaines personnes, de ne pas avoir d'activité en lien avec des mineurs, etc. ».


Arnaud Brultet regrette surtout le manque de moyens lors du suivi psychologique des délinquants sexuels :

 « La pédophilie est un problème mental. Ce sont d'ailleurs souvent des gens qui ont eux-mêmes été victimes. Il faut davantage de psychiatres et de psychologues pour les suivre ».

Ce dernier souligne également que la loi peut obliger les délinquants à se soigner lors de leur libération, ce qui n'est pas le cas pendant l'incarcération :

« L'idéal serait que le travail thérapeutique commence en maison d'arrêt ».

Le vice-procureur de la République à Dijon rappelle toutefois qu'il existe « des soins en prison grâce aux services médico-psychologique régionaux (SMPR). Mais ce n'est pas obligatoire, il s'agit d'une démarche individuelle.
Malgré tout si le la personne concernée ne prend pas contact avec ce service elle n'obtiendra aucune réduction de peine ».

Si Dijon dispose effectivement d'un SMPR, ce n'est malheureusement pas le cas de toutes les maisons d'arrêt françaises... faute de moyens.

Steeve CUPAIOLO-VERNEY

http://www.bienpublic.com/actu/infodujour/20070821.BPA0195.html

http://malt.board-realtors.com/

http://www.enfantbleu.org/index.html
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